Activités du mois

Découvrez tout ce qui vous attend pour le plus grand festival international de Boogie et Rock du grand Est…
3 danses: Boogie Woogie, Rock Swing, Hip Hop Swing
Une Line Up de folie: 18 profs et 6 groupes internationnaux
1 site exceptionnel de plus de 5500 m² sur 3 sites
le choix parmi 66 heures de cours du niveau grand débutant à compétiteur
10 grandes salles de cours (minimum 100 m²)
1 scène professionnelle de 160 m² avec un dancefloor en parquet de 500 m²
1 Rétro Market
1 rassemblement Oldtimer de plus de 100 voitures <70’s
Des danseurs venus de toute l’Europe: France, Allemagne, Suisse, Italie, Bulgarie, Pays-bas, Belgique….
Des tarifs préférentiels pour les GROUPES et les MEMBRES
Des tarifs d’hôtel négociés pour vous

Kadavar
Prenant le rock’n’roll à la gorge, Kadavar en retrouve de psychédéliques sources, baignées de fuzz, éclaboussées de riffs, vrombissantes sous la distorsion et la wah wah. Kadavar s’y abreuve autant qu’il y crache de longues goulées lysergiques et chatoyantes qui sont autant d’enchantements pour le spectateur éclaboussé jusqu’à la noyade heureuse et ébahie.

Death Alley
C’est Death Alley, le combo néerlandais de heavy rock psychédélique qui ouvrira la soirée.

Tarifs : 23 euros

L’exposition mettra en avant l’extraordinaire créativité des artistes et illustrateurs de l’époque à Strasbourg qui choisirent de réinventer le Moyen Âge pour développer un art propre à la région. Le « goût pour le Moyen Âge » en Alsace, l’arrière-plan politique de ce courant médiévaliste ou la manière dont la période fut étudiée à l’Université seront au cœur du parcours de la visite.

Le 14 et 15 octobre 2017, le Centre Sportif d’Oberhausbergen accueillera une centaine d’exposants pour  le salon Tendance  Vintage du Grand-Est. A cette occasion vous pourrez découvrir des pièces de créateurs et des trésors d’antan comme : des voitures de collection, vespa, objets collectors, mobilier vintage et design, vinyles, vêtements mode et accessoires … Que vous soyez passionnés de vintage ou collectionneur de pièces rares, il y en aura pour tous les goûts et toutes les bourses. Tout au long du week-end, le salon Tendance Vintage vous proposera de multiples animations : virée en voiture de collection dans les rues de Strasbourg, bar à beauté/coiffure pour un look résolument rétro, barbier, ateliers DIY, retrogaming, shows artistiques, danses de salon, dj’s…

Vous l’attendiez, le revoilà enfin ! Après l’énorme folie, la fièvre, l’énergie du tout premier et démentiel Soul Train de Strasbourg, on remet le couvert avec les explosifs The Fat Badgers !
Un groupe live sur scène et un couloir de danse qui n’attend plus que vous !
Inspiré par la mythique émission de télévision américaine, ce QuartierLibre s’adresse aux amateurs de danse et autres expressions corporelles (pratiquants ou non !). Dans une ambiance 70’s survoltée : chaussez vos bottes à paillettes, mettez vos lunettes funky ou une veste fluo sur le dos ! Soul, funk, rythm’n’blues, hip hop ou électro… Ambiancez la salle avec vos plus beaux déhanchés en remontant le dancefloor !

Anathema
Lyrisme, sens du drame et du contre-champ, quelque chose comme la bande-son idéale. Du rêve 60’s, Anathema n’aura donc gardé que les envolés psychédélico-symphoniques d’un Pink Floyd pour donner tout son lyrisme à un doom métal théâtral et dantesque, témoignant de l’attachement du groupe au romantisme sombre des combats allégoriques entre les forces du bien et du mal.
Nouvel album « The Optimist » sortie le 9 juin

Alcest
C’est Alcest, combo d’origine black metal atmosphérique dont l’évolution tire vers le shoegaze dream-pop qui ouvrira la soirée. Le groupe viendra présenter son dernier album « Kodama » sur notre scène.

2 amoureux du vinyle, gros collectionneurs tout droit venus de suisse!
Sélection de rhythm n blues, soul, rock n roll, garage, punk, early funk, exotica, 45s, rare stuff and other swingin’ sounds…

Tarifs : 3 euros

Der Weg Einer Freiheit
Entre Mittleuropa extrême et westlich rideau de fer, Der Weg Einer Freiheit arpente une voie aussi ténébreuse que résolument éprise de liberté. Conjugaison des forces, union des esprits, sur disque comme à la scène, le combo de Wurtzbourg convoque les puissances les plus extrêmes pour offrir une expérience de l’absolu.

Regarde les hommes tomber
Pour ouvrir la soirée, le groupe nantais de Post Black Metal/Sludge  Regarde les Hommes Tomber qui viendra présenter leur deuxième album « Exile ».

On sait la place occupée par la symbolique religieuse dans le travail du metteur en scène et plasticien Romeo Castellucci. Sa mise en espace de la Passion selon saint Matthieu de Bach constitue toutefois sa première confrontation avec une œuvre véritablement sacrée. Musicalement servie par Kent Nagano, dirigeant le Philharmonisches Staatsorchester Hamburg, l’Audi Jugendchorakademie et six solistes de premier plan, cette production échappe autant au cliché qu’à la provocation pour proposer une vision bouleversante et méditative du chef-d’œuvre de Bach. Créé en avril 2016 à l’Opéra de Hambourg, le spectacle fut capté pour Arte par les équipes d’Olivier Simonnet –¿spécialiste du genre, Diapason d’or de l’année pour sa réalisation de Cendrillon de Massenet au Royal Opera House (2012). C’est à la projection de ce film que Musica propose d’assister, au titre de la collaboration que le festival entretient depuis dix ans avec la chaîne franco-allemande.

La naissance de Koenigshoffen est étroitement liée à l’implantation de l’armée romaine à Strasbourg dès le début du ier siècle après J.-C. Les fouilles, récemment menées dans le cadre du projet « Porte des Romains » par le Pôle d’archéologie interdépartemental  rhénan, ont mis une nouvelle fois en pleine lumière le riche patrimoine archéologique de ce secteur ouest de Strasbourg. Si les découvertes faites sur le site de la « Porte des  Romains » sont au coeur de l’exposition, elles fournissent aussi l’occasion de proposer au grand public un large bilan actualisé des connaissances sur le passé antique de Koenigshoffen et sur les relations entretenues avec le proche camp militaire d’Argentorate.
Les premières découvertes ont pu être réunies et présentées au public grâce à leur collecte par la Société pour la conservation des Monuments historiques, puis par le Musée Archéologique de Strasbourg. Elles ont été largement complétées au cours des quatre dernières décennies grâce aux fouilles archéologiques préventives réalisées sous l’égide du Service régional de l’archéologie à l’occasion des grands travaux d’infrastructures et d’aménagements urbains qui ont transformé l’ensemble du quartier de Koenigshoffen.